Une bonne alimentation pour prévenir les risques d’AVC
L’âge et la génétique sont des facteurs potentiels pouvant déclencher un AVC (accident vasculaire cérébral). Et ils ne peuvent pas être combattus. Cependant, une alimentation adéquate est une option qui peut aider à prévenir l’apparition de ces conditions. L’alimentation d’une personne reflète ses conditions de santé, et les conditions neurovasculaires n’échappent pas à la règle. Voici donc quelques conseils d’alimentation utiles pour prévenir les risques d’AVC.
L’AVC : de quoi s’agit-il ?
L’AVC est une lésion cérébrale qui peut également affecter gravement le corps. Elle se produit lorsque le flux sanguin vers une partie du cerveau est interrompu. Ou encore, lorsqu’un déversement de sang se produit dans ou autour du cerveau.
Le flux sanguin vers le cerveau peut être interrompu de deux manières. Cela est possible lorsqu’un morceau de sang nommé caillot obstrue une artère du cerveau ou du cou. Cela peut aussi se produire lorsqu’une artère affaiblie rompt. Et comme les cellules du cerveau contrôlent les mouvements, une partie du corps peut devenir paralysée.
Si l’AVC affecte le côté droit du cerveau, le côté gauche du corps peut devenir paralysé. Si elle affecte plutôt le côté gauche du cerveau, le côté droit du corps peut devenir paralysé.
Une alimentation adaptée : les marches à suivre
L’une des principales recommandations pour prévenir l’AVC est de limiter l’apport en graisses. Le corps n’a besoin que de 20 à 30 % de graisses alimentaires.
Par contre, le cholestérol et les acides gras saturés doivent être évités. Ils induisent des processus inflammatoires dans l’endothélium vasculaire, affectant ainsi dans les événements thrombogènes possibles. Le respect des horaires de repas est également important. Il ne faut pas sauter le petit déjeuner, le déjeuner, ni le dîner.
Il faut aussi toujours s’hydrater correctement. Il faut généralement consommer environ 2 litres d’eau par jour. Soit une consommation de 6 à 8 verres par jour.
Pour éviter les graisses, on peut déjà alterner le beurre du petit déjeuner par de l’avocat. Il faut aussi ralentir sur les saucisses et les viandes à forte teneur en matières grasses. Cela comprend le bœuf ou l’agneau. On peut les alterner avec les viandes blanches (poulet, dinde, poisson) et les légumineuses.
D’ailleurs, ces aliments devraient être consommés au moins deux fois par semaine. Ils devraient aussi souvent être accompagnés de salades à l’huile d’olive.
Faire attention à la consommation de sel
Enfin, la consommation de sel doit aussi être raisonnable pour éviter les risques d’AVC. C’est une consigne qui s’adresse particulièrement aux personnes sujettes à l’hypertension artérielle. En effet, l’hypertension est un facteur potentiel pouvant déclencher l’accident vasculaire cérébral.
Par conséquent, il faut éviter les aliments riches en sel. Pour ce faire, il faut accorder une attention particulière aux aliments qui utilisent du sodium pour la conservation. Ces personnes devront aussi s’inviter à la pratique d’activités physiques. Cela permet de réguler leur tension artérielle à un niveau normal. Et aide donc à réduire considérablement les risques.
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